Thursday, 25 February 2021

It's official: Jesus Moran, Co-president of the Focolare Movement declares that the 'visions' of Chiara Lubich known within the Focolare Movement as the 'Paradise of 1949' are NOT private revelations

 According to the various 'responses' of the leaders of the Focolare Movement to Pope Francis' speech to them on 6 Febraury 2021, it seems they have not understood the full extent of the very serious problems he was referring to.  For example, the final document of the General Assembly of the Movement, which presented itself as a reply to that speech contained the words 'charism' or 'charism of unity' 15 times in nine pages.  Rather than responding to his charges of self-referentiality or that 'the charism is not a statue in a museum' (and elsewhere - to the members of Communion and Liberation - he even said, 'the centre is not the charism, there is only one centre - Jesus, Jesus Christ!'), it seems that either they are unable to grasp what they are being told - or even a kind of defiance.  Even weirder is an interview that the Co-president of the Movement, Jesus Moran gave to the Italian magazine of the Dehonian religious order, Settimana News.

http://www.settimananews.it/ministeri-carismi/focolari-dopo-assemblea-gen, Jesus erale/

In a response to a question refering to 'some critical responses to the mystical experiences [of Chiara Lubich] - especially the early ones from the end of the forties, the so-called 'Paradise of 1949', Moran responds without the slightest caution: 'It has to be said that Chiara always thought and passed on to us...that this mystical experience is the essence of the mentality of anyone who wants to be a source of unity today in the Church and in society [my emphasis] - and also those who accept the charism of the Movement.  Therefore the experience of Chiara is not private or particular.'  I may not be a qualified theologian, but I feel confident to affirm that the experience of Chiara Lubich is without the slightest doubt what the Catholic Church defines as a 'private revelation'.

According to the Apostolic Exhortation of Benedict XVI 30 September 2010, after the Synod on the Word of God, it is necessary for the Church to 'help the faithful to distinguish the word of God from private revelations, whose task is not to 'complete the definitive revealtion of Christ...the value of private revelations is essentially different from the one public revelation.'  This document states clearly that 'the use [of a private revelation] is not obbligatory'.  It appears to me that Moran says something quite different about the revelations of the 'Paradise of 1949' - that 'it is not...private'.  There is a danger here of creating a new church.  To me this is a clear example of the 'Contemporary Gnosticism' that Pope Francis has identified many times - especially in the document Gaudete et Exultate of 2018.  In my book The Pope's Armada, dating back to 1995 (UK hardback edition) there was an entire long chapter in which I analysed gnosticism (I used that very term) in the 'new Catholic movements' - and especially Focolare and its 'Paradise of 1949'.


 

Wednesday, 24 February 2021

Selon les 'capi' des focolarini, les 'visions' de la Lubich - il soi-disant 'Paradis de '49' - ne sont pas une 'revelation prive'

 Selon les différentes "réponses" des dirigeants des Focolari au discours du pape François du 6 février, il semble qu'ils n'aient rien compris aux questions très graves auxquelles il faisait référence.  Par exemple, le document final de l'Assemblée générale du mouvement, qui se voulait une réponse à ses paroles, contenait le mot "charisme" ou "charisme d'unité" 15 fois en 9 pages.  Plutôt que de répondre à ce qu'il a dit sur l'autoréférence ou que "le charisme n'est pas une statue dans un musée" (et ailleurs - aux membres de Communion et Libération - il a même dit, "le centre n'est pas le charisme, le centre est un - c'est Jésus, Jésus-Christ"), il semble qu'ils soient incapables de comprendre - ou même de relever un défi.  Encore plus étrange est l'interview que le co-président focolarino, Jesus Moran, a donnée au magazine italien des dehoniens, Settimana News (20 février 2021). http://www.settimananews.it/ministeri-carismi/focolari-dopo-assemblea-generale/

 À une question portant sur "certaines questions critiques concernant les expériences mystiques [de Chiara Lubich] - en particulier les expériences originelles de la fin des années 1940" (ce qu'on appelle le "Paradis de 1949") Moran répond, sans la moindre prudence : "Il faut dire que Chiara a toujours pensé et nous a transmis... que cette expérience mystique est constitutive de la mentalité de toute personne qui veut être un ferment d'unité aujourd'hui dans l'Église et dans la société - c'est-à-dire de ceux qui font leur le charisme du mouvement.  Il ne s'agit donc pas d'une expérience mystique privée et particulière de Chiara.”  Bien que je ne sois pas théologien, je suis tout à fait conscient, je pense, d'affirmer que l'expérience de Chiara est sans le moindre doute ce que l'Église catholique définit comme une "révélation privée".  Selon l'Exhortation Apostolique de Benoît XVI du 30 septembre 2010, à la suite du Synode sur la Parole de Dieu, il est nécessaire que l'Église "aide les fidèles à distinguer la parole de Dieu des révélations privées, dont la tâche n'est pas de "compléter" la révélation définitive du Christ... la valeur des révélations privées est essentiellement différente de la seule révélation publique.” Ce document indique clairement que "l'utilisation [de la révélation privée] n'est pas obligatoire".  Il me semble que Moran dit tout autre chose sur les révélations du "Paradis de 1949" - que "ce n'est pas...privé" ! Comme ça on court le risque de créer une nouvelle église.   Cela me semble être un exemple frappant du "gnosticisme contemporain" dont le pape François a parlé à maintes reprises, mais surtout dans le document Guadete et Esultate de 2018.  Dans mon livre, Les armées du Pape (Ponte alle Grazie, 1996), une enquête sur une partie du mouvement des Focolari (j'étais membre interne de 1967 à 1976), il y avait un chapitre entier où j'exposais le gnosticisme (en utilisant le même terme) dans trois mouvements d'église - en particulier les Focolari et le "Paradis de 1949". 


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Père Pierre Vignon 23 février 2021 at 21 h 40 min
Cher Gordon, ce que tu exprimes est tout à fait juste. L’Unité c’est Dieu. La mort par amour du Christ sur la croix nous ramène à l’Unité. L’Unité divine dépasse nos conceptions. Elle se déploie dans une variété infinie, car elle ne se répète jamais, et elle ramène tout à l’Unité sans aucune uniformité. Il y a beaucoup de demeures dans la maison du Père.
Madame Lubich ne peut donc pas s’identifier à l’Unité divine et prétendre qu’elle est la seule à pouvoir y conduire. C’est se mettre à la place du Saint-Esprit. Quand Jésus Moran (nouveau président élu des Focolari), emporté par son amour filial (et surtout enfantin et infantile) pour la Mamma Lubich (on pardonne aux méditerranéens l’amour exagéré de leur maman), dit que celui qui veut vivre l’Unité doit nécessairement être focolari, il blasphème, tout comme sa maman. Jésus seul pouvait dire en vérité ce qui a été pris par le grand prêtre pour le blasphème qui lui a valu la mort. Cette fausse pommade focolarine avec lesquels les écoliers de Madame Lubich se sont laissé infantiliser est insupportable. En bonne maîtresse d’école, avec ses sept couleurs, elle les a tous dominés, y compris les cardinaux et les évêques dont la vocation reposait plus sur celle de leur maman que sur un appel du Christ.
Il est donc logique, après le détournement du testament du Christ et la captation de son héritage au sujet de l’Unité, qu’elle s’en soit pris à la Vierge Marie en s’auto-proclamant sa « Vicaire ». Il y a un vicaire du Christ, c’est le pape ; mais il n’y a pas de vicaire de Marie, et Madame Lubich est une faussaire en l’ayant prétendu, et ceux qui la suivent doivent s’interdire de réfléchir pour le croire. La Vierge Marie, notre Mère selon l’ordre de la Grâce, est toute transparence, nous disons dans notre langage à nous Immaculée, afin de ne rien prendre au Christ Jésus et de ne pas lui faire écran. Si elle est la Mère de l’Eglise, c’est précisément parce qu’elle a volontairement refusé d’être la « Mamma di tutti », au sens italien et possessif du terme. Ses inspirations d’après la communion où elle voulait communier avec Igino Giordani et surtout lui avec elle, qui ont donné le Paradiso 49, sont des élans romantiques et pieux des amours platoniques (je l’espère) de jeunesse de la Lubich. Devenue vieille, elle a voulu refiler à tous les popi ses expériences de jeunesse en se prenant pour Thérèse d’Avila qui aurait rencontré Jean de la Croix. Mais tout cela est bidon ! ce sont des cris de chats dans les Dolomites !
Chiara Lubich serait sainte si elle avait su se faire transparence pour aider les chrétiens à découvrir le mystère de l’Unité divine. A l’évidence, elle n’a pas su et pas pu oublier de faire la maîtresse d’école et ce qui est extraordinaire, c’est qu’elle a réussi à infantiliser tant d’hommes et de femmes avec ce sous-catéchisme préscolaire. Comme l’a si bien chanté Charles Aznavour, « Elle va mourir, la Mamma » et tous les zenfants réunis autour du lit vont finir par trouver que ses prétendus écrits mystiques n’étaient que des cahiers de coloriage pour enfants. Si quelqu’un trouve que je blasphème en parlant ainsi, il (ou elle) me donnera raison. On peut envoyer des pomodori pourris sur un écran qui prétend faire passer tous les fils de Dieu par ce qui est projeté dessus. Sauf que Dieu a prévu des gens pour renverser les écrans entre ses enfants et Lui. Question finale : est-on iconoclaste si on envoie une tomate pourrie sur une fausse icône ? Petits garçons et petites filles de Chiara, il va falloir que vous fassiez l’unité avec le cancre que je suis si vous voulez appliquer la doctrine de la maîtresse ! Quant à moi, elle ne m’attrapera pas, ni dans le temps, ni dans l’éternité. Enlève ton masque, Chiara, on t’a reconnue Silvia !

Secondo i leader dei focolari, le 'visioni' di Chiara Lubich non sono rivelazioni private

Secondo varie 'risposte' dai capi del movimento dei Focolari al discorso del Papa Francesco di 6 febbraio, sembra che non hanno capito niente dei problemi molto seri ai quali si riferiva.  Per esempio il documento finale dell’Assemblea Generale del movimento, che pretendeva di essere una risposta a quel discorso conteneva la parola 'carisma' o 'carisma di unità' 15 volte in 9 pagine.  Piuttosto che rispondere alle accuse del Papa sull'autoreferenzialità o che 'il carisma non e statua in un museo' (ed altrove - ai membri di Comunione e Liberazione - ha detto perfino, 'il centro non e il carisma, il centro e uno solo - e Gesù, Gesù Cristo!'), sembra o che non riescono a capire o persino una sorta di sfida.  Ancora più strano e un'intervista che il co-presidente focolarino Jesus Moran ha dato alla rivista italiana dei Dehoniani, Settimana News (20 febbraio 2021). http://www.settimananews.it/ministeri-carismi/focolari-dopo-assemblea-generale/

 Ad una domanda che riferisce ad 'alcune domande critiche rispetto alle esperienze mistiche [di Chiara Lubich] - soprattutto quelle originarie, della fine degli anni '40,' il cosiddetto 'Paradiso di 1949', Moran risponde, senza la minima cautela: 'Bisogna dire che Chiara ha sempre pensato, e ce lo ha trasmesso...che questa esperienza mistica e costitutiva della mentalità di qualsiasi persona che voglia essere fermento di unità oggi nella Chiesa e nella società - ossia di chi fa proprio il carisma del movimento.  Quindi non e un’esperienza mistica di Chiara privata, particolare.'  Anche se non sono teologo, sono abbastanza al corrente, credo, per affermare che l'esperienza di Lubich e senza il minimo dubbio quello che la Chiesa cattolica definisce una 'rivelazione privata'.  Secondo L'Esortazione Apostolica di Benedetto XVI di 30 settembre 2010, dopo il Sinodo sulla Parola di Dio, e necessario per la Chiesa di 'aiutare i fedeli di distinguere la parola di Dio da rivelazioni private, il compito delle quali non e di 'completare' la rivelazione definitiva di Cristo... il valore di rivelazioni private e essenzialmente diverso dall'unica rivelazione pubblica.' Questo documento dice chiaramente che 'l'uso [di una rivelazione privata] non e obbligatorio.'  A me sembra che Moran dice ben altro delle rivelazioni del 'Paradiso di 1949' che 'non e...privata'!   Così si corre il rischio di creare una nuova chiesa.  Questo mi sembra un esempio netto del 'Gnosticismo Contemporanea' di cui Papa Francesco ha parlato molte volte ma sopratutto nel documento Gaudete et Exultate di 2018.  Nel mio libro, Le armate del Papa (Ponte alle Grazie, 1996) ,  un'indagine in parte sul Movimento dei Focolare (ero membro interno 1967-1976), c'era un capitolo intero dove ho esposto il gnosticismo (usando lo stesso termine)  in tre movimenti ecclesiali - soprattutto Focolare ed il 'Paradiso di 1949'. 


Affascinante risposta ai miei pensieri sopra, dal sacerdote e canonista francese Pere Pierre Vignon, gia giudice ecclesiastico delle provincie di Lione e Clermont-Ferrand:


Padre Pierre Vignon 23 febbraio 2021


Caro Gordon, quello che esprimi è assolutamente giusto. L'unità è Dio. La morte di Cristo per amore sulla croce ci riporta all'Unità. L'unità divina è al di là della nostra comprensione. Si dispiega in una varietà infinita, perché non si ripete mai, e riporta tutto all'Unità senza alcuna uniformità. Ci sono molte dimore nella casa del Padre. La signora Lubich non può quindi identificarsi con l'Unità divina e affermare che solo lei può condurvi. Questo significa mettersi al posto dello Spirito Santo. Quando Jesus Moran (il neoeletto presidente dei Focolari), trascinato dal suo amore filiale (e soprattutto infantile e infantile) per Mamma Lubich (ai mediterranei si perdona l'amore esagerato per la madre), dice che chi vuole vivere l'Unità deve per forza essere dei Focolari, bestemmia, proprio come sua madre. Solo Gesù poteva dire in verità ciò che fu preso dal sommo sacerdote per la bestemmia che lo fece uccidere. Questo falso unguento focolare con cui gli scolari della signora Lubich si sono lasciati infantilizzare è insopportabile. Da buona maestra, con i suoi sette colori, li dominava tutti, compresi i cardinali e i vescovi la cui vocazione si basava più su quella della madre che su una chiamata di Cristo. È quindi logico che, dopo l'appropriazione indebita del testamento di Cristo e la cattura della sua eredità sul tema dell'Unità, abbia attaccato la Vergine Maria sostenendo di essere la sua "Vicaria". C'è un Vicario di Cristo, ed è il Papa; ma non c'è una Vicaria di Maria, e la signora Lubich è una impostora nell'affermare questo, e chi la segue deve astenersi dal pensare di crederci. La Vergine Maria, nostra Madre secondo l'ordine della Grazia, è tutta trasparenza, diciamo nella nostra lingua Immacolata, per non togliere nulla a Cristo Gesù e non fargli da scudo. Se è la Madre della Chiesa, è proprio perché ha volontariamente rifiutato di essere la "Mamma di tutti", nel senso italiano e possessivo del termine. Le sue ispirazioni dopo la comunione, in cui voleva entrare in comunione con Igino Giordani e soprattutto lui con lei, da cui nasce Paradiso 49, sono slanci romantici e pietistici degli amori (spero) platonici della giovinezza della Lubich. Quando divenne anziana, volle trasmettere a tutti i popi le sue esperienze giovanili, pensando di essere Teresa d'Avila che aveva incontrato Giovanni della Croce. Ma tutto questo è falso: sono le grida dei gatti delle Dolomiti! Chiara Lubich sarebbe una santa se avesse saputo rendersi trasparente per aiutare i cristiani a scoprire il mistero dell'unità divina. Ovviamente, non dimenticava e non poteva dimenticare di fare la maestra, e ciò che è straordinario è che è riuscita a infantilizzare tanti uomini e donne con questo sub-catechismo prescolare. Come cantava giustamente Charles Aznavour, "She's going to die, la Mamma", e tutti i bambini riuniti intorno al letto scopriranno alla fine che i suoi cosiddetti scritti mistici non erano altro che libri da colorare per bambini. Se qualcuno mi ritiene blasfemo nel parlare così, mi darà ragione. Meglio buttare pomodori marci su uno schermo che pretende di far passare tutti i figli di Dio davanti a ciò che viene proiettato su di esso. Solo che Dio ha messo a disposizione delle persone per rovesciare gli schermi tra i suoi figli e Lui. Ultima domanda: siamo iconoclasti se mandiamo un pomodoro marcio su un'icona falsa? Ragazzi e ragazze di Chiara, dovrete fare unita a quell'imbecile che sono io se volete applicare la dottrina della maestra! Quanto a me, non mi prenderà, né nel tempo né nell'eternità. Togliti la maschera, Chiara, sei stata riconosciuta, Silvia!